La Manifestation MysterOm en préparation
Notre prochaine manifestation traitera des mythes des légendes et des arts mystiques qui lui sont reliésLe MysterOm
Pour l'amour de la culture et de l'histoire
Souvenir du Cercle des Cent-suisses avec l'ancienne Reine de Jordanie.

Souvenir du Cercle des Cent-suisses avec notre invité la Princesse Murat.

Souvenir du Cercle des Cent-suisses à l'occasion de la venue de la musique de la légion étrangère au Château de Penthes

Acquisitions Exceptionnel

Acquisitions Exceptionnel

Plus de 75'000 visiteurs sur notre site internet pour l'année 2022

Le symbole secret du permis de conduire suisse !
Le Cercle des Cent-suisses c'est tout cela !
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Plus de 70'000 visiteurs sur notre site internet pour l'année 2021

Pour le 1er Août reservez votre conférence au temps de Guillaume Tell !
L’histoire que je vais vous raconter prend naissance en 1291 dans la mémoire collective de nos ancêtres, et dans les balbutiements de notre démocratie.
En effet, c’est au début d’août de cette même année, que notre nation devait voir surgir des méandres de son histoire les conspirati !
Cette alliance formée des hommes de la vallée d’Uri, de Schwytz, et de Nidwald (Unterwald) avait décidé secrètement de renouveler leurs vœux d’union et de défense mutuelles par un Pacte écrit. Les conspirati pensaient à juste raison, qu’une dictature était en train de prendre place au sein de leurs trois vallées suite à la mort de l’Empereur Rodolphe.
Le mot latin Conspirati se traduit en français par conjuré ; qui signifie prêter serment, se lier par un serment, ou encore conspirer et comploter. Son synonyme allemand est le mot Eidgenossen qui se compose du mot allemand Eid qui signifie Serment, et du mot Genossen qui veut dire Compagnons.
Ainsi le mot de Eidgenossen (serment des compagnons) devait devenir quelques siècles plus tard le mot confédéré afin de désigner une union d’états indépendants.
Ses compagnons du serment allaient veiller secrètement à la défense de nos trois vallées, et former progressivement une ligue de résistant face à la tyrannie du nouvel Empereur Albert 1er. Les conspirati devinrent donc au fil du temps les pères fondateurs de notre nation, grâce à leurs actes héroïques et leurs combats de grande valeur.
C’est le 3 juin 1309 à Constance que l’Empereur Henri VII devait officiellement reconnaître, cette ligue secrète comme la première ligue confédérée.
Alors, mythe, légende ou réalité, c’est à vous de juger !
Reservez dès maintenant votre Conférence, pour plus d'information nous contacter.
Pour Juillet et Août plongez-vous au coeur des mystères de Genève, et tenté la visite de l'histoire secrète de Genève.
Alors plongez-vous dans l'histoire même de Genève et de ses secrets avec les Nibelungen, les Chevaliers templiers et hospitaliers, ou encore les confréries secrètes et leurs illustres membres.
Parcourez à travers la ville les sentiers initiatiques des symboles et de leurs mystères à la Da Vinci Code, avec Monsieur Jean-Charles Martin, enquêteur historique et Président du Cercle des Cent-Suisses.
L'histoire secrète de Genève est une visite passionnante qui vous fera découvrir Genève sous le prisme du secret et d'une façon des plus originales, en groupe ou entre amis.
Alors si vous voulez percer les secrets de Genève, n'hésitez pas à réserver vos places pour cette visite palpitante et stupéfiante qui vous révélera ce qui n'aurait jamais dû vous être révélé.
Possibilité d'organiser une visite à partir de 5 participants de juillet à août pour tout renseignement Contact
Durée de la visite 2 heures
Le volume III de la BD Guillaume Tell de David Boller
Le volume III de la BD Guillaume Tell de David Boller est disponible ainsi que sont intégral !
Notre président Jean-charles Martin est mis une fois de plus à l'honneur de ce troisième volume.
Merci pour ce clin d'oeil David !
Le lien pour l'acheter en ligne! https://www.tellbranding.ch
Alix et les Helvètes !

Alix, le jeune Gallo-Romain héros de bande dessinée, envoyé comme ambassadeur auprès des tribus helvètes par Jules César, se révèle être un guide exceptionnel pour parcourir la Suisse antique, tant par la fiction que par le documentaire.
Sa trente-huitième aventure l’amène dans une Helvétie au tournant de sa romanisation. Il va être amené à faire une tournée mouvementée des oppidums celtes du Plateau suisse, afin de sceller des alliances en vue de l’établissement de premières colonies d’anciens légionnaires, notamment sur les bords du Léman.
La bande dessinée, Les Helvètes, est accompagnée d’un autre album, documentaire et didactique, mêlant texte, dessin et photo: L’Helvétie est le quarantième des Voyages d’Alix, une série lancée par Jacques Martin qui évoque des régions, des villes, des peuples, leurs us et coutumes.
Son texte et sa conception ont été confiés à un archéologue genevois, Christophe Goumand, spécialiste de l’époque romaine, collaborateur notamment du Musée romain de Nyon et directeur du Festival du film d’archéologie.
Le projet remonte à loin. Dans les années 1990, Goumand reçoit un téléphone de Jacques Martin, comme il le faisait parfois, pour lui dire qu’il planchait sur une histoire se déroulant en Suisse et qu’il avait besoin de noms d’Helvètes…
Il lui propose ensuite de collaborer à deux Voyages d’Alix sur l’Helvétie et un troisième volume sur Rome. Il accepte, mais faute de dessinateur disponible (Martin, en raison d’une maladie des yeux, n’est plus en mesure de dessiner), le projet reste en attente.
Statistique des visites en 2020 sur notre site internet

Nous avons comptabilisé 46'012 visiteurs en 2020
Merci de votre fidélité et de votre intérêt.
Nouvel acquisition en ce début d'année pour notre collection privée
BIBLE DE MARTIN 1731 imprimée à Berne, en Suisse
(BIBLE PROTESTANTE ou RÉFORMÉE).(BIBLE PROTESTANTE ou RÉFORMÉE).
David MARTIN, (La Sainte Bible, Les Evangiles). Le Nouveau Testament, de Nôtre Seigneur Jesus-Christ, selon la Version la plus communément reçûë dans les Eglises Reformées.
Avec préfaces de chaque Livres de l'Ecriture Sainte. Tirées de la Bible de Mr. MARTIN, & quelques prières à la fin. Imprimé à Berne, par Ordonnances Souveraines, Par Jean Bondeli, MDCCXXXI.
Ralentisement de nos activités dû au coronavirus

Comme tout le monde le sait l'année 2021 a été l'année du coronavirus.
Ce qui a mis nos activités en suspens durant toute une partie de cette année.
Et de ce fait nous espérons que l'année 2021 nous permettra de reprendre nos activités.
Nous vous souhaitons tous nos meilleurs voeux pour l'année 2021 et qu'elle puisse vous amener joie et prospérité.
Le monument de la Bérézina en Gruyère
Petit clin d'œil dans l'émission de la RTS couleur locale le 8.12. 2020 concernant l'histoire de la stèle de la Bérézina en Gruyère.
Stèle que notre Cercle avait restauré et commémoré en collaboration avec l'armée et Monsieur Alain-Jacques Tornare pour le bicentenaire de cette bataille.
Et qui à donné lieu à une grande manifestation de commémoration en 2012 avec la présence de la Princesse Murat.
D'ailleurs nous sommes étonnés que lors du reportage Monsieur Alain-Jacques Tornare ne fasse aucune référence ni à la commémoration ni la restauration du monument.
Décès de l'un de nos membres émérites

Monsieur Erwin Schaffner est décédé le 20 novembre 2020 à l'âge de 74 ans.
Un homme qui était pour nous une sorte de patriarche croisé entre un Platon plein de sagesse et un Merlin plein d'enthousiasme magique.
Nous envoyons toutes nos condoléances à la famille et aux proches.
Tu va vraiment nous manquer Erwin !
Rencontre avec le Conseil administratif du Grand-Saconnex

L'école des Druides à Bernex pour le festival de la music celtique !
Magnifique week-end passé à Bernex ou le cercle tenait un stand sur l'initiation aux runes et aux symboles celtiques pour la commune de Bernex.
Nous avons rencontré des gens vraiment extraordinaires avec qui nous avons pu partager.
Grand merci à vous tous d'être passé nous voir si nombreux !
Nos ancêtres les Celtes conférence le dimanche 1 septembre 2019
Dimanche 1 septembre 2019 − 14h − Bibliothèque de Bernex
Le cercle des Cent-Suisses regroupe des passionnés qui ont à coeur de perpétuer l’histoire et la culture Suisse. Jean-Charles Martin, Président, donnera une conférence : « Nos ancêtres les Celtes » dans laquelle il évoquera les premières traces de la civilisation celte en Suisse, les tribus celtes en Suisse ainsi que les Allobroges de la région du genevois.
Animation création de runes et symboles pour les enfants samedi 31 août et dimanche 1er septembre 2019
Samedi - Dimanche − en continu − Parc ancien cimetière
Les runes sont un alphabet d’origine germanique apparu au IIe s. utilisé par les Vikings et autres peuples germaniques et scandinaves, mais aussi dans les langues celtiques. Il est composé de 24 signes, provenant des rune Lépontique qui ont été mis au jour dans une région centrée de Lugano.
Le lépontique est une langue celtique continentale parlée par les Lepontii dans une région de 100km environ autour de Lugano, donc dans la région des lacs entre le nord de l'Italie et le sud de la Suisse, du VIIe au IIe siècles av. J.-C.
Ces runes avaient un pouvoir divinatoire et protecteur, et étaient utilisées exclusivement par les druides puissants mages celtiques aux connaissances extraordinaires.
L’origine de notre devise Nationale !
C’est aussi sur ce même pallier d’escalier qu’en levant les yeux au ciel, je pouvais admirer deux anges célestes qui me présentaient notre armoire fédérale. Elle était immaculée d’un rouge éclatant, et estampiller du symbole de la croix blanche, qui me rappelait que notre pays était de confession chrétienne.
La devise qui figurait en latin disait « UNUS PRO OMNIBUS, OMNES PRO UNO » qui pouvait se traduire en français par « un pour tous, tous pour un ».Cette devise qui avait été prononcé pour la première fois non pas par les trois mousquetaires d’Alexandre Dumas, mais par le noble fribourgeois Sébastien de Diesbach quand il vint au début du XVI siècle à Genève. Monsieur de Diesbach était l’ambassadeur de Berne et de Fribourg, il était venu aider les Genevois qui étaient en conflit avec le Duc de Savoie. C’est d’ailleurs suite à cette alliance de combourgeoisie que devait prendre naissance le conflit qui amena en 1602 à la fameuse tentative de la prise de Genève par le Comte de Savoie que l’on surnomma Escalade.
Sébastien de Diesbach dit « Mais et Combourgeois ! nous venons parmi vous par un serment commun, serrer des nœuds bien doux ! Les fils de Berne, heureux de vous nommer leurs frères, vous jurent par ma bouche, amour et foi sincères. Un pour tous ! tous pour un ! quel que soit le danger, nous saurons avec vous venir le partager. Cette Sainte union accroitra notre force. »
D'ailleurs on peut retrouver sur le grand sceau des Etats-Unis plus ou moins le même sens avec la devis latine du E pluribus unum, qui signifie littéralement « un seul à partir de plusieurs » ou, dans une traduction plus directe, « De plusieurs, un ».
Le pas des Helvètes
Un livre qui nous raconte les mémoires de Titus Gellius Ludius qui est né et vécu Genève pendant l'époque Romaine.
Ces mémoires ont été retrouvés près de Genève sur 22 rouleaux de Papyrus !
La symbolique de trois doigts levés Helvétique !
J’avais eu la chance d’observer cette symbolique antique, lors de l’une de mes nombreuses visites dans l’ancienne capitale des Helvètes qui était Avenches (canton de Vaud).
En effet, dans le musée historique qui se trouvait adjacent à l’arène romaine, se trouvait exposée dans une vitrine une sculpture de bronze antécédente à la naissance du christianisme qui arborait cette symbolique des trois doigts levés.
Mais que pouvait donc signifier ce symbolisme à l’époque ou le christianisme n’existait pas et que les rites païens celtiques faisaient foi !
J’appris au sein du musée que cette sculpture était la représentation artistique et symbolique de ce que les archéologues appellent une main votive.
A une époque bien lointaine, cette symbolique était le signe d’un engagement envers une instance supérieure qui scellait les vœux qui avaient été cités oralement.
D’ailleurs, votive signifie dans le dictionnaire Larousse, « qui est exécuté pour acquitter un vœu » !
Cette gestuelle devait alors traverser les âges pour être reprise par de multiples religions, dont le christianisme, afin de représenter la Sainte Trinité (le fils, le père et le Saint-Esprit).
Mais une différence minime existait néanmoins entre la gestuelle de la main votive et celle de la Sainte Trinité chrétienne.
On pouvait l'observer parfaitement au Vatican entre le Pape et notre garde pontificale !
Si l’on se donne la peine de regarder attentivement dans la gestuelle papale, l’index et le majeur étaient collés entre eux, et le pouce est légèrement éloigné. Alors que si l’on regarde la gestuelle de notre garde pontificale prêtant serment, on observe le pouce, l’index et le majeur qui sont totalement dissociés les uns des autres et qui nous ramène à la gestuelle de la main votive.
C’est probablement pour cela qu’en Suisse, il est encore coutumier de nos jours de pratiquer cette même gestuelle votive, lors des prestations de serment, afin de valider devant nos instances politiques, administratives ou militaires nos vœux d’engagement.
Mais voilà, cette gestuelle des trois doigts levés fait régulièrement polémique chez nos élus, car nombreux sont ceux politiciens qui refuse de la pratiquer lors de leur prestation de serment.
Prétextant que cette symbolique est celle de la foi chrétienne !
Dans le lexique du parlement helvétique, on retrouve explication des mots qui ne devrait en rien annulé cette symbolique de vœu que l'on soit croyant ou nom
« Au Conseil national, l’assermentation des députés a lieu dès que le conseil a constaté qu’il était constitué. Pour cette cérémonie, toutes les personnes présentes dans la salle se lèvent. Le secrétaire général de l’Assemblée fédérale lit les formules du serment et de la promesse solennelle. Les députés qui prêtent serment prononcent, en levant trois doigts de la main droite, les mots : « Je le jure» ; ceux qui font la promesse solennelle, les mots : «Je le promets».
Loi sur l'Assemblée fédérale
Art. 3 Tout élu qui refuse de prêter serment ou de faire la promesse solennelle renonce à sa fonction.
Art. 4 La formule du serment est la suivante : « Je jure devant Dieu tout-puissant d'observer la Constitution et les lois et de remplir en conscience les devoirs de ma charge. »
Art. 5 La formule de la promesse solennelle est la suivante : « Je promets d'observer la Constitution et les lois et de remplir en conscience les devoirs de ma charge. »
On voit nettement avec ses articles de lois que le croyant tout comme le non-croyant en politique peut œuvrer dans notre confédération et que tous deux prêtent un serment sous une forme de vœu symboliser rituellement par les trois doigts levés.
Pourtant certaines élues et certains élus politiques ne valident pas au sens propre de notre histoire et de notre culture ce serment intégralement, puisqu’il ou elles refusent de levés ses trois mêmes doigts pour valider leur rituellement de serment.
Ce qui pour ma part est une erreur symbolique extrêmement grave puisque cela reviendrait à ne pas sceller un pacte ou ne valider un contrat par sa signature !
Car, il ne faut pas perdre de vu que de nos jours encore le sens premier de cette gestuelle reste la validation de vœux d’engagement.
Le film Tell A story 2018
pièces commémoratives en or Guillaume Tell 2018
Le 26 avril 2018, la Monnaie fédérale suisse « Swissmint » émet la pièce d’or «Guillaume Tell» qui rend hommage au plus célèbre des Suisses.
Les actes de Guillaume Tell sont mentionnés pour la première fois dans le Livre blanc de Sarnen, une chronique consignée vers 1470 par Hans Schriber, chancelier d’Obwald. À l’ère des guerres de Bourgogne, le personnage apparaît aussi dans la chanson de l’origine de la Confédération (le «Tellenlied» de 1477).Son histoire a été imprimée pour la première fois en 1507 dans la chronique lucernoise (Luzerner Chronik) de Melchior Russ et de Petermann Etterlin. On la retrouve également dans la chronique suisse (Schweizer Chronik), rédigée entre 1508 et 1516 par le Zurichois Heinrich Brennwald. Aux alentours de 1570, le chroniqueur Aegidius Tschudi a retranscrit en vers les diverses versions, transmises oralement ou par écrit, des aventures de Guillaume Tell en situant l’action en 1307.
Les représentations théâtrales populaires en Suisse centrale ont aussi contribué à perpétuer la légende. Le drame romantique (dont la première fut présentée en 1804) qu’en a tiré Friedrich Schiller a fait connaître le récit tout d’abord en Europe, puis dans le monde entier. Dans son œuvre, Schiller s’est largement inspiré de la chronique d’Aegidius Tschudi, puis son texte a servi de base à l’opéra Guillaume Tell de Gioachino Rossini. Dans les premières représentations, Guillaume Tell portait des vêtements très différents, en fonction de l’époque.
L’image que nous en avons aujourd’hui, avec une chemise de vacher, une barbe et un capuchon, a été influencée par le monument du sculpteur Richard Kissling (1895), qui se trouve à Altdorf, ainsi que par le célèbre tableau peint par Ferdinand Hodler en 1897. Ce dernier sert d’ailleurs de modèle à la nouvelle pièce commémorative et fait ainsi référence à ce grand peintre suisse, dont nous célébrons cette année les cent ans de la mort.
La nouvelle pièce en or a été conçue par l’illustrateur Angelo Boog.
Le Pacte de 1291
Le Pacte fédéral, ou Pacte de 1291, fut choisi en 1891 comme pacte fondateur de la Suisse. Ce document étant daté de début août 1291 (la date exacte est inconnue), la fête nationale suisse a été placée symboliquement le 1er août.
Ce pacte renouvelle une alliance précédente, qui ne nous est pas parvenue, à caractère juridique et défensive, conclue par les représentants des trois cantons primitifs : Uri, Schwytz et Nidwald. Il fut oublié des siècles durant, pour être redécouvert dans la tour des archives de Schwyz lors d’un inventaire effectué en 1724. Johann Heinrich Gleser publia sa version latine originale en 1760. Sur les trois exemplaires originaux, seul celui de Schwyz a survécu, et est conservé actuellement au musée des chartes fédérales à Schwytz.
Le pacte fédéral historique est associé dans l’imaginaire helvétique au mythique Serment du Grütli. Cependant, aucune valeur fondatrice ne lui a été donnée avant la fin du xixe siècle, l’apparition du nationalisme, et la décision d’organiser une fête nationale. Avant 1891, le pacte de Brunnen (1315) était généralement considéré comme l’acte fondateur de la Suisse.
Un excellent nouvel an Celte avec la fête de Samonios!

Samonios où Samain marque le début et la fin de l' année celtique, et annonce le début du Temps Noir.
En effet Samain n’appartient ni à l’année qui se termine ni à celle qui commence : c’est un jour en dehors du temps qui permet aux vivants de rencontrer les défunts.
Et elle permet aussi aux défunts, non réincarnés, de passer dans le monde des vivants pour y retrouver les lieux et les personnes qui leur étaient chers.
On situe ce jour au premier Novembre de notre calendrier. Mais comme toutes les principales fêtes celtiques, Samain compte trois jours de solennités : le premier est consacré à la mémoire des héros, le deuxième à celle de tous les défunts, et le troisième est livré aux réjouissances populaire et familiales marquées par des réunions, des banquets, des festins de toutes sortes qui pouvaient se prolonger pendant une semaine.
La veille de la nuit de Samain, avait lieu la cérémonie de la renaissance du feu. Les propriétaires des maisons éteignaient les feux de l’âtre avant de se rassembler à la nuit tombante sur la place où les druides procédaient à l’allumage d’un nouveau feu sacré en frottant quelques bois secs du chêne sacré.
Ils allaient ensuite allumer de grands feux de joie sur les collines environnantes pour éloigner les esprits malfaisants. Puis chaque maître de maison repartait avec quelques braises tirées du nouveau feu sacré pour rallumer un nouveau feu dans l’âtre de sa maison qui devait durer jusqu’à la prochaine fête de Samain et protéger ainsi le foyer tout au long de l’année.
Dans la nuit du 31 octobre – les fêtes celtes commencent à la tombée de la nuit -, on croyait que le monde des morts, des fées et des sorcières entrait en contact avec celui des vivants. On croyait ainsi que les âmes des défunts revenaient errer autour des maisons des vivants c' est pourquoi on laissait la porte entre ouverte et une place à table et on plaçait des lanternes sur les chemins pour les guider.
La tradition de Samain n’a pas complètement disparu ni avec la romanisation de la Gaule, ni avec le développement du catholicisme.
Et c’est sans doute par référence à cette fête celte que le pape Grégoire IV décida, en 840, de faire du 1 er novembre, le jour de tous les saints. La référence à Samain devenait encore plus claire lorsque, trois siècles plus tard, à la fête des saints et des martyrs, on adjoignit la fête de tous les morts.
Avec la fête américaine d’Halloween largement entretenue par les médias et la publicité, est apparu Jack O’ Lantern, un personnage tiré d’un conte irlandais. Ivrogne invétéré et avare, Jack réussit à tromper le diable à deux reprises.
Sac O'nnex the fourth
- Viendez noyer vos gosiers, éguayer vos tympans, étoiler vos mirettes...
- L'occasion de passer un superbe dimanche de novembre en famille ou/et entre amis, autour de cinq délicieux buffets (froids, chauds, fromage, dessert, glaces) ! Alors, organisez une table et RÉSERVEZ au plus vite...
- Au plaisir de futurs partages.
- Amitiés celtiques
- Patrick Cherpillod
- Notre Pésident Martin Jean-Charles donnera à cette occasion une conférence sur le sujet la mythologie celtique , et respectivement sur la fête de Samain plus connue sous le nom d'Hallowen.
- La veille de la nuit de Samain, avait lieu la cérémonie de la renaissance du feu. Les propriétaires des maisons éteignaient les feux de l’âtre avant de se rassembler à la nuit tombante sur la place où les druides procédaient à l’allumage d’un nouveau feu sacré en frottant quelques bois secs du chêne sacré. Ils allaient ensuite allumer de grands feux de joie sur les collines environnantes pour éloigner les esprits malfaisants. Puis chaque maître de maison repartait avec quelques braises tirées du nouveau feu sacré pour rallumer un nouveau feu dans l’âtre de sa maison qui devait durer jusqu’à la prochaine fête de Samain et protéger ainsi le foyer tout au long de l’année.
"Guillaume Tell - Fable Danoise"
Notre collection s'est embellie d'un ouvrage pratique, introuvable de nos jours!
Il s'agit de la fameuse édition originale de 1760 "Guillaume Tell - Fable Danoise" (en français), qui devait remettre en question toute l'histoire de Guillaume Tell et la reléguer au titre de légende.
Mais cet ouvrage était-il digne de confiance et ses arguments sont-ils honorables dans la véracité de leurs propos?
Car beaucoup d'historiens ont pris ce livre comme référence, afin de décrédibiliser Guillaume Tell et le mythe fondateur de la Confédération helvétique.
Nous avons désormais entre nos mains, la source de ce courant historique; le document original sur lequel se fondent les rumeurs qui entachent l'histoire de Guillaume Tell.
Nous pourrons donc l'étudier attentivement !
Notre Héros national mis à l'honneur dans une bande dessinée!
Prochainement disponible
La légende de Guillaume Tell Auteur(s) : David Boller , Nicolas Meylaender
Éditeur :Virtual graphics
Bande dessinée / Romans graphiques
Cette bande dessinée raconte l’histoire de notre Héros national Guillaume Tell et son combat contre le tyran le bailli Gessler qui déclencha la lutte pour l’indépendance de la Suisse afin de se libérer de l’empire des Habsbourg au début du 14 siècle. Directement adapté de la célèbre pièce de Schiller et magnifiquement illustré, ce roman graphique est une lecture idéale pour tous les âges.
Notre Président dans la BD la légende de Guillaume Tell!
Le dessinateur David Boller à Frankfurt pour la présentation de sa nouvelle BD la légende de Guillaume Tell.
D'ailleurs, notre président apparaît dedans en Arnold de Melchtal dedans!
Vivement qu'elle soit disponible à la vente en français.https://m.facebook.com/story.php…
"L'empreinte" / Guillaume Tell, la nation en héritage
L'album de Guillaume Tell - le musical se prépare... Voici en attendant un extrait acoustique interprété par Nuno Resende (Page Officielle) "L'empreinte" écrit et composé par Stéphane Métro.
Guillaume Tell, la nation en héritage
La comédie musicale la plus attendue en Suisse, "Guillaume Tell, la nation en héritage" écrite et mise en scène par Stéphane Métro Officiel (Le bal des vampires, Roméo et Juliette, Les 3 mousquetaires, Les misérables...) se donnera en première mondiale au théâtre du Martolet à Saint Maurice à partir du 30 mars 2017 avec la participation exceptionnelle de Nuno Resende (Page Officielle) (Finaliste The Voice France, Adam & Eve, Latins lovers, Mozart l'opéra rock, etc...). Un spectacle familial à ne pas manquer produit par AscenDanse Production.
30 mars 2017 – 2 avril 2017
du 30 mars 2017 à 20:00 au 2 avril 2017 à 17:00
Théâtre du Martolet
Rue Charles-Emmanuel de Rivaz, 1890 Saint-Maurice
Trouver des billets
Le film Heidi sur les écrans
Heidi, une jeune orpheline, part vivre chez son grand-père dans les montagnes des Alpes suisses.
D'abord effrayée par ce vieil homme solitaire, elle apprend vite à l'aimer et découvre la beauté des alpages avec Peter, son nouvel ami.
Mais la tante d'Heidi, estimant quil ne s'agit pas là d'une éducation convenable, place la fillette dans une riche famille de la ville. Heidi va-t-elle supporter cette vie, loin de la montagne et de son grand-père ?
Beaux paysages, belle petite fille brune, c’est beau, y a pas à dire. (...) l’affaire devrait remplir son office minimal : combler les fans et ajouter une petite pierre au mythe Heidi, traduit en 50 langues et édité à 50 millions d’exemplaires.
55'000 visiteurs pour l'année 2015!

Le Cercle des Cent-suisses vous souhaite une bonne et heureuse année 2016 pleine de santé et de prospérité pour vous et vos proches.
Nous tenons par la même occasion à vous remercier pour votre fidélité, car vous avez été plus de 55'000 visiteurs (adresse IP) à venir voir notre site internet en 2015.
La légende de Guillaume Tell en BD! Prochainement
Cette bande dessinée raconte l’histoire de notre Héros national Guillaume Tell et son combat contre le tyran le bailli Gessler qui déclencha la lutte pour l’indépendance de la Suisse afin de se libérer de l’empire des Habsbourg au début du 14 siècle. Directement adapté de la célèbre pièce de Schiller et magnifiquement illustré, ce roman graphique est une lecture idéale pour tous les âges.
Cette nouvelle adaptation de «La légende de Guillaume Tell» est un roman graphique moderne et accessible qui fera découvrir le mythe à de nouveaux lecteurs.
—Scénario: Nicolas Meylaender
—Dessins: David Boller
—Éditeur: Virtual Graphics
—Format: 48 pages, 21 X 29,7 cm, couleurs, cartonné
—Public: 9-99
—Date de publication: Été 2015
Une association celte a vu le jour à Genève!
Avec L'orateur Celte Jean-Charles Martin (Président Du Cercle Des Cent-Suisses)
Qui Parlera Des Tribues Celtes avec la conférence, nous sommes des Celtes!
Pétition touche pas à mon hymne national!
POUR QUE NOTRE HYMNE NATIONAL ACTUEL NE CHANGE PAS!
Pétition à l'attention du Conseil Fédéral
➢ Touche pas à mon hymne national!
Considérant
1. Que le Cercle des Cent-suisses est une institution d’utilité publique qui se veut défendre son hymne national suisse.
2. Que la Société suisse d’utilité publique veut changer notre hymne national suisse.
3. Que notre hymne national jouit d’une grande popularité.
4. Que depuis les années 1960 le Conseil fédéral s’est toujours opposé à son changement.
5. Que la motion 043046 de la conseillère nationale socialiste Kiener Nellen Margret visant à changer notre hymne national en 2004 a été rejetée par le Conseil fédéral.
6. Que la réponse du 25.06.2014 du Conseil fédéral concernant la motion 14.3336 du conseiller national UDC ne nous donne pas satisfaction.
7. Que notre hymne national actuel correspond aux attentes des citoyens et citoyennes et qu’il est digne d’être notre hymne national suisse.
les pétitionnaires demandent au Conseil fédéral :
• Que notre hymne national ne soit en aucun cas changé, modifié ou réinterprété
Pétition
Aidez nous à réaliser le Helvétique Center (Tellmuseum 2032)!
Le Helvétique Center est un projet qui a germé dans l'imagination de nombreux responsables d'associations historiques, d'historiens et d'écrivains, tous passionnés par l'histoire Suisse.
Son but premier est de promouvoir et de faire revivre l'histoire suisse à travers un centre d'histoire vivant et intellectuel à connotation ludique et récréative, intégrant à celui-ci, un musée, une bibliothèque et un collège dispensant des cours d'histoire suisse. Ainsi, grâce à ses différents aspects, notre musée recréera une symbiose équilibrée entre notre histoire statique et l'histoire vivante.
En effet, pour le conseil du Cercle des Cent-suisses, il ne fait aucun doute qu'un tel centre historique encouragera les citoyens, nationaux comme étrangers, à s'intéresser plus activement à l'histoire de fédérale et régionale.
Il nous paraît donc de la plus grande importance, à l'aube du XXIe siècle, de retrouver et de présenter les événements de notre histoire passée afin de mieux appréhender le futur de notre pays.
Contact
Beaucoup de suisses et d'historiens confondent le pacte de 1291 avec le serment du Grütli!
Beaucoup de suisses et même des historiens à la réputation au dessus de tout soupçon confondent régulièrement le Pacte fédéral qui ce rédigea au début du mois d'août 1291 et le serment du Grütli qui ce passa le 17 novembre 1307 sur la fameuse plaine. De plus il faut savoir qu'un pacte et une forme juridique écrite qui n'a rien a voir avec un serment qui est lui orale. Et le réciter serait respectivement trop long surtout lors d'un serment secret. Mais ce qui nous perturbe dans tous ça, c'est que nous ne comprenons pas comment des erreurs historiques aussi grosse peuvent devenir des réalités au XXI siècle et être reproduit dans nos ouvrages d'aujourd'hui.
Ce qui aurait été dit sur la plaine du Grütli le 17 novembre 1307!
Après de multiples recherches dans une multide d'ouvrages et d'archives, nous avons pu retrouver, pas sans le moindre efforts, ce qui aurait été jurée par 33 Confédérés de nos trois vallées.
《 Au nom de Dieu qui a fait naître de la même souche les Confédérés que les Empereurs, et qui les a également dotés des inaliénables privilèges de tout être raisonnable, nous jurons tous de nous secourir réciproquement pour la défense de notre liberté. Amen》
Guillaume Tell est un Héros national, et non un assassin !
Même si nous avons une grande considération pour l'historien Alain-Jacques Czouz-Tornare, ceci devait être dit.
Car Guillaume Tell est notre héros national et il ne peut être remis en question impunément sans des preuves formelles surtout venant d'un historien. Magazine Histoire
L'histoire suisse pratiquement inexistante dans les écoles publiques!
Etudiants, l'histoire de Guillaume Tell est une des histoires les plus émouvantes de toute l'hi...stoire!
Alors pourquoi cette histoire appartenant au mythe fondateur de la Confédération helvétique ne s'apprend plus dans nos écoles publiques
Car ne l'oublions pas Guillaume Tell est n'on seulement notre Héros national, mais aussi l' une des icônes de la liberté dans le monde entier!
Ce qui nous subjugue actuellement c'est qu'un certain nombre d'historiens de mouvance politique bien spécifique semblent remettre régulièrement l'histoire fondatrice de notre Confédération en doute, et semble vouloir l'interpréter à la façon des contes de fées et des légendes, en cessant de nous rabâcher que rien n’a existé.
Mais pourquoi tant d'acharnement contre les bases fondamentales historiques de notre pays!
Pour faire court, nous dirons tout simplement qu'un pays sans histoire, c'est comme un arbre sans racines, petit à petit il meurt.
Voilà pourquoi le Cercle des Cent-suisses a décidé de partir en croisade contre ce fléau qui efface année après année l'héritage et le patrimoine de nos ancêtres.
Une pétition veut plus d’histoire nationale à l’école!
«L'histoire suisse est parfois sacrifiée par manque de temps»
Une pétition veut plus d’histoire nationale à l’école. Des maîtres avouent manquer de temps pour aborder le passé suisse
De leurs années d’histoire suisse au cycle, les élèves semblent avoir retenu deux notions: l’Escalade et Guillaume Tell.
Que fête-t-on le 1er août? Qu’est-ce que la Réforme? Et les fonds en déshérence? Les jeunes Genevois devraient pouvoir répondre à ces questions. Car le Plan d’étude romand (PER) — qui décrit ce que les élèves doivent apprendre durant la scolarité obligatoire — stipule que le cours d’histoire doit englober des thématiques nationales, voire locales. Mais en pratique, les professeurs font parfois l’impasse sur cette dimension suisse. Et cela conduit à une connaissance arbitraire de notre passé, soutient Stefan Gisselbaek.
Cet étudiant en droit déplore n’avoir reçu d’enseignement cohérent sur l’histoire suisse qu’une fois à l’Université. Or, «connaître le passé de son pays et le fonctionnement des institutions est indispensable pour exercer ses droits politiques!»
Nouvelle Société Helvétique
Le Cantique Suisse N'a Pas Besoin D'être Protégé

Site officiel de L'Assemblée fédérale - Le Parlement suisse
Le Cantique suisse n'a pas besoin d'être protégé
ats, 12.02.2015, 14:32
L'hymne national actuel est si populaire qu'il n'a pas besoin d'être protégé. Le Conseil fédéral rejette une motion de la conseillère nationale Yvette Estermann (UDC/LU) exigeant l'attribution au "Cantique suisse" du statut d'emblème officiel.
Pour la démocrate du centre, cet hymne est un symbole fort de la Suisse qui ne saurait être changé par caprice. Il est très populaire et ceux qui ont tenté de le modifier par le passé s'y sont cassé les dents. Le Conseil fédéral doit protéger l'hymne dans sa forme actuelle.
Ce n'est pas judicieux, estime le gouvernement dans sa réponse publiée jeudi. Un hymne national ne peut simplement être imposé d'en haut, il doit être apprécié et adopté par la population pour remplir sa fonction. Attribuée en 1961, la reconnaissance provisoire du "Cantique suisse" n'est devenue définitive qu'en 1981.
C'est précisément parce qu'il jouit d'une grande popularité que le Conseil fédéral n'estime pas nécessaire de protéger l'hymne via une loi. Les tentatives ratées de le remanier montrent qu'il est difficile de rallier les suffrages en faveur d'une nouvelle version.
Un nouveau projet est en cours. La Société suisse d'utilité publique a lancé un concours national et retenu sept projets dont quatre de Suisse romande pour la finale. Le public les départagera en votant sur Internet au printemps et lors d'une finale qui sera télévisée.
Le Cercle des Cent-suisses, c'est tout ça!
« Le fait que les hommes tirent peu de profit des leçons de l’Histoire est la leçon la plus importante que l’Histoire nous enseigne. »
Aldous Huxley
Le Secret Helvétique est en cours de réalisation!
Le Secret helvétique est un ouvrage qui vous plongera littéralement au cœur d’une enquête palpitante sur le mythe fondateur de la Confédération helvétique. A travers son aventure, Martin Jean-Charles, détective privé de profession et Président du Cercle des Cent-suisses (institution d’utilité publique fédérale et cantonale), va vous raconter comment sa quête devait débuter suite à la découverte d’un symbole dissimulé sur une vieille gravure du serment du Grütli.
Cet ouvrage ce veut être un hymne aux origines de la Suisse!
Notre Président contre les Illuminati dans la tome II Guillaume Tell !
Dans la BD Guillaume Tell de David Boller, notre Président Jean-Charles Martin est illustré en défenseur des libertés
démocratiques et patriotiques. Mais surtout, il est un nouvel allié de Guillaume Tell contre les Illuminati.
Mais qu'elle est donc le symbole qu'il arbore sur son vêtement ??????
Beau clin d'œil, merci David vivement le troisième volume!
Boutique Zampano
Devoir de mémoire
Le pacte de 1291
Traduction en française d'après la traduction du Musée des Chartes fédérales à Schwitz.
Le Pacte fédéral suisse ou Pacte de 1291 fut choisi en 1891 comme pacte fondateur de la Suisse. Comme ce document date du début août 12911 (la date exacte est inconnue), la fête nationale suisse a été placée symboliquement le 1er août.Il s'agit d'un renouvellement d'une alliance à caractère juridique et défensive, conclu par les représentants des trois cantons primitifs : Uri, Schwytz et Nidwald.
Ce pacte ne consacre donc nullement l'indépendance de la Confédération suisse qui continue de faire partie intégrante du Saint-Empire romain germanique, de fait jusqu'au Traité de Bâle en 1499 et de droit jusqu'au Traité de Westphalie.
Il fut redécouvert dans la tour des archives de Schwyz lors d'un inventaire effectué en 1724, mais aucune valeur fondatrice ne lui a été donnée avant la fin du XIXe siècle et l'apparition du nationalisme. Johann Heinrich Gleser publia sa version latine originale en 1760.
Sur les trois exemplaires originaux, seul celui de Schwyz a survécu, et est conservé actuellement au musée des chartes fédérales à Schwytz.
Tout devait commencer par ces mots !
《 Au nom de Dieu qui a fait naître de la même souche les Confédérés que les Empereurs, et qui les a également dotés des inaliénables privilèges de tout être raisonnable, nous jurons tous de nous secourir réciproquement pour la défense de notre liberté. Amen》
Le Pacte et le Serment du Grütli
Le Pacte ne doit pas être confondu avec le Serment du Grütli !
Le Pacte fédéral suisse, ou Pacte de 1291, fut choisi en 1891 comme pacte fondateur de la Suisse. Ce document étant daté de début août 1291 (la date exacte est inconnue), la fête nationale suisse a été placée symboliquement le 1er août date de la fête celte Lugnasadh.
Ce pacte renouvelle une alliance précédente, qui ne nous est pas parvenue, à caractère juridique et défensive, conclue par les représentants des trois cantons primitifs : Uri, Schwytz et Nidwald.
Il fut oublié des siècles durant, pour être redécouvert dans la tour des archives de Schwyz lors d’un inventaire effectué en 1724.
Johann Heinrich Gleser publia sa version latine originale en 1760. Sur les trois exemplaires originaux, seul celui de Schwyz a survécu, et est conservé actuellement au musée des chartes fédérales à Schwytz.
Le pacte fédéral historique est associé dans la mémoire helvétique au mythique Serment du Grütli!
Hymne à notre héro national pour le 1er août 2022
Gessler lui ordonne alors de percer d'un carreau d'arbalète une pomme posée sur la tête de son propre fils. En cas d'échec, l'arbalétrier sera mis à mort. Malgré ses supplications, le bailli reste intraitable. Tell s'exécute et coupe le fruit en deux sans toucher l'enfant.
Or, Gessler, ayant vu Tell dissimuler un second carreau sous sa chemise, lui en demande la raison. Tell prétend d'abord qu'il s'agit d'une simple habitude. Mais le bailli encourage Tell à parler sincèrement en lui garantissant la vie sauve. Tell répond alors que si le premier trait avait manqué sa cible, le second aurait été droit au cœur du bailli. Gessler fait arrêter Guillaume Tell sur-le-champ. On l'enchaîne et confisque son arme. On l'emmène d'abord à Flüelen, où l'on embarque pour Brunnen avant de mener le prisonnier au château du bailli à Küssnacht, où Tell doit finir ses jours dans une tour. Mais, au cours de la traversée du lac des Quatre-Cantons, une tempête menace la frêle embarcation.
Tell, qui connaît le mieux la manœuvre, est chargé d'assurer la conduite de la barque jusqu'au rivage. Arrivé à proximité, il bondit à terre au lieu-dit Tellsplatte, près de Sisikon, et repousse la barque d'un coup de pied. Ce fait est commémoré dans la chapelle de Tell, dont la première aurait été érigée sur le site en 1388. Par la suite, Tell tue le bailli dans le chemin creux entre Immensee et Küssnacht.
Selon Aegidius Tschudi, cet épisode se produit deux mois avant « l'incendie des châteaux » (1er janvier 1308), un autre épisode légendaire qui marque la rébellion des Suisses contre les ducs d'Autriche. Selon Tschudi, le tyrannicide de Tell est diversement apprécié par les chefs du soulèvement.
1315 Morgarten
15 novembre 1315 , victoire des Trois Cantons à Morgarten !
Le 15 novembre 1315, à Morgarten, au sud de Zurich, les montagnards des Trois Cantons (Uri, Schwyz et le demi-canton de Nidwald), repoussent les troupes du duc Léopold d'Autriche, seigneur de Habsbourg.
Quelques années après le célèbre serment de Grütli, la victoire de Morgarten renforce la cohésion des cantons alpins.
Elle leur rallie les cantons environnants et surtout les villes de Zurich, Bâle et Berne. Ces communes libres, bien que bourgeoises, font front commun contre les prétentions des Habsbourg.